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Immersion balinaise

  • Anima

    , par Valéry

    Alors que nous évoquons le « supplément d’âme » pour justifier nos politiques publiques en faveur des arts, ici, la notion d’âme semble au cœur même de toute considération.
    Lors des cérémonies, « l’athlète affectif » comme le défini Artaud, jette son âme et son corps dans la bataille cosmique. (…)

  • Au 4ème jour...

    , par Simon

    Jetlag dans ta face. Frein avant trop serré en scooter, sur pente en virage avec petit lit de cailloux/poussière/terre, de nuit. Vautre. Blessure dégueu. Déchirage de sandales. Nouvelles sandales. Douloureuses. Je fini pied nu, dans Ubud, au milieu du harcèlement des chauffeurs de taxi à petite (…)

  • Avec Shakespeare

    , par Charlie

    Make Art not War nous dit un mur de Sukawati.
    Retrouvailles avec Bali, équipé des lunettes de Shakespeare.
    Faut voir l’effet sur les camarades.
    Les corps changent, ils s’illuminent. Ce doit être les fruits.
    A moto les épaules se tentent : rigolo.
    Les yeux sourient.
    Et puis la langue.
    Le (…)

  • Ayo Pergi !

    , par Simon

    Après Singapadu, puis Munduk, maintenant Amed.
    Enfourchant leurs scooters, l’escadron Dérézo sillonne Bali, s’immergeant toujours un peu plus dans des paysages, des couleurs, des ambiances décidément bien loin des nôtres. Shakespeare lui-même s’en trouve tout dépaysé !

  • Bicara

    , par Camille

    Selamat Pagi !
    Aujourd’hui : vocabulaire.
    Le bé-à-bas est déjà laborieux mais pourtant indispensable !
    Il faut que ça rentre ! Il faut que ça rentre...

  • Ca-Caliban

    , par Alice

    Changer J’ai pensé à l’histoire de Jérémy Button, raconté par le cinéaste Patricio Guzman dans « Le bouton de nacre ». Jérémy Button était, à la fin du XIXe siècle, un Indien de Patagonie, qui, en échange d’un bouton de nacre, a accepté de suivre un géographe anglais (venu dessiner les côtes (…)

  • De leurs sourires

    , par Chloé

    Ici leurs sourires sont là où je ne les espérais pas.
    Il y a une cérémonie pour l’enterrement provisoire (avant la crémation) d’un homme du village de Keliki, il est mort hier. Nous attendons à l’entrée du cimetière, on entend la musique du Gamelan se rapprocher, en bas de la côte la (…)

  • Départ

    , par Simon

    Nous partons. Retour au bercail. Que dire ? Peut-être rien. Pas de bilan. Ça voudrait dire que c’est fini. En fait, tout ne fait que commencer, notre immersion balinaise n’est que le premier pas vers notre Tempête. Nous avons vécu quelque chose, qui nous a transformé quelque part, nous avons (…)

  • Ecoumène

    , par Simon

    Lire Shakespeare à Bali, dans un Wantilan, en sarong, a quelque chose de tragique.
    Nous sommes arrachés à nos duchés, à cause de la connaissance, acquise ou recherchée, et nous rencontrons l’autre dans un milieu qui peut passer d’hostile à accueillant en très peu de temps.
    Des liens se (…)

  • Expérience

    , par Gaëtan

    Je crois que l’artiste de théâtre n’est pas qu’un passeur d’histoire mais un passeur d’expérience. Que les spectateurs viennent vivre quelque chose en allant aux théâtres, comme nous sommes venus vivre quelque chose ici. Il s’agît de présence. Être présent. Être en présence de. Avoir de la (…)

  • L’origine

    , par Véro

    Des masques balinais, on en voit, on en touche, on en porte, on en découvre et re-découvre depuis des années à Brest. Des les voir ici, à Bali, est très touchant.
    Ici, nous sommes à l’origine, au cœur de la création de ces masques. La rencontre avec eux, ici, avec le facteur de masques, ici, (…)

  • Mouvement !

    , par Simon

    Voilà 12 jours que nous sommes arrivés (pour le premier groupe) à Bali.
    Le temps file ! Oui mais dans quoi file-t-il ?
    Aujourd’hui, dernière séance de travail avec Nyoman sur le Topeng Pajegan, puis départ pour Singapadu. Au programme de la semaine, danse Legong, facture de masque et Tempête. (…)

  • Ne sombre pas encore

    , par Alain

    Partir à onze à Bali avec dans nos bagages Prospéro et un souhait obscur que quelque chose se produise en chacun de nous, dans nos profondeurs individuelles, n’est-ce pas comme regarder un citron avec l’espoir qu’il se presse lui-même ? Par l’effet de sa propre volonté. Par suicide ? Par folie ? (…)

  • Premier jour...

    , par Camille

    Bali !
    Première nuit et première journée.
    Couleurs, parfums, odeurs, lumières, saveurs, contacts...
    Une seule journée et une seule nuit et déjà des milliers d’impressions, de sensations, de visages, de paysages...
    À nous de nous laisser aller à la porosité, à la perméabilité, à l’hyper (…)

  • Seul, comme il sied

    , par Alain

    Nous ne sommes pas ensemble sur cette île. Tu parles, et je n’en suis pas sûr. Nous sommes seuls, comme il sied. Je fais des cauchemars. Je les écris, il en repousse encore comme des champignons. Si tu veux t’égarer, as-tu besoin de me le dire ? Va-t’en alors ! Pourquoi pas seul ? Tu souhaites (…)

  • Tua

    , par Anne-Sophie

    I nyoman Setiawan. Danseur de masque. Facteur de masque. Fabricant de tronches. Celle là par exemple. De loin une allure de vieux sage, à qui on ne la fait pas. Une figure bien connue. Vieux brisecart qu’en a sous la caboche, vieux loup, vieux singe, vieux sage , marqué, blanchi par les embruns (…)

  • Voyage

    , par Le Légio

    Quatre lettres soufflées malicieusement à la face de mon entourage auront suffi à susciter fantasmes, étonnement, joie, inquiétude. Doux creuset de sentiments, de belles incertitudes…
    Le B de Boutdumonde, le A des Arts, le L de Langueur et le I de (…)

  • Voyage à Bali : une future spectatrice songe à La Tempête

    , par Marjorlène

    Une tempête, et, la quiétude anéantie, tout est remis en branle, en marche, en question. Une tempête et la vie reprend. Un voyage est une forme de tempête. Les repères – y compris les repères spatiaux, nous sommes dans l’hémisphère sud, impossible de trouver instinctivement l’endroit où se (…)

La Plus Petite Fête Foraine du Monde

  • Atelier du 10 avril

    , par Derezo

    Le jour J approche à grand pas ... Il ne reste qu’un atelier avant la répétition générale du lundi 24 avril !
    Vivement que l’on aille dehors !

  • Atelier théâtre du 20 mars

    , par Kevin et Anaïs

    Hier soir ont eu lieu les premiers tests de La Plus Petite Fête Foraine du Monde avec tous les stands en action !
    Vestes en cuir, en jean, bottes, salopette, fourrure... des costumes à l’esprit rock !
    De nouvelles recrues on rejoint l’aventure, si vous voulez vous aussi y participer il est (…)

  • Dates des répétitions

    , par Derezo

    Petit rappel : les ateliers de théâtre PPFFDM auront lieux tous les lundis de 16h à 22h, à la Chapelle Dérézo (15 Rue Maissin - 29200 Brest) !
    Lundi 27 février de 16h à 22h
    Lundi 6 mars de 16h à 22h
    Lundi 13 mars de 16h à 22h
    Lundi 20 mars de 16h à 22h
    Lundi 27 mars de 16h à 22h
    Lundi 3 (…)

  • Dédicace

    , par Derezo

    Dédicace fraternelle depuis la Colombie à toute l’équipe de la PPFFDM !!!!

  • La construction a commencé

    , par Derezo

    Voici donc dans les bois de bohars, l’atelier municipal où le premier groupe (les constructeurs/trices) a attaqué. Les remorques étalées à droite à gauche...
    Des propositions et des échanges certes mais aussi des contraintes : solidité, démontable, esthétique flower power (?)...etc
    L’épopée (…)

  • La Plus Petite Fête Foraine du Monde fait sa tournée !

    , par Derezo

    Retour en images sur la commande inédite des sept communes de Brest Métropole.
    28 avril 2017 à Plouzané
    29 avril 2017 à Guipavas
    12 mai 2017 Relecq Kerhuon
    13 mai 2017 Plougastel
    14 mai 2017 Bohars et Guilers
    Ne loupez pas la prochaine et dernière date jeudi 25 mai à Gouesnou, Place des (…)

  • Nous étions nombreux, nous étions heureux !

    , par Derezo

    Lundi 3 avril
    Nouvel atelier de La Plus Petite Fête Foraine du Monde. Nous étions nombreux et nous étions heureux ! Kevin et Anaïs avaient fait des courses c’était un peu noël !
    Notre super équipe scénographie est venue installer des lumières sur les stands. On peut noter le magnifique (…)

  • Premier Atelier !

    , par Derezo

    Nous voila tous réunis dans la Chapelle Dérézo pour ce premier rendez-vous.
    Chacun tourne et regarde les stands construits, les stands en cours et les stands qui attendent les bonnes idées...
    Les textes circulent et chacun se demande qu’est ce théâtre forain aux innombrables possibles !
    C’est (…)

  • Répétition générale

    , par Derezo

    Hier, lundi 24 avril, a eu lieu la répétition générale de La Plus Petite Fête Foraine du Monde sur le parking du Super U de Recouvrance.
    Une arrivée pétaradante à dos de solex, des ballons qui volent dans tous les sens, des comédiens-amateurs qui tiennent leur stand de mains de maîtres ! Quel (…)

  • Retour en images sur l’atelier théâtre

    , par Kevin et Anaïs

    Hier, lundi 13 mars, a eu lieu le troisième rendez-vous des ateliers théâtre de La Plus Petite Fête Foraine du Monde à la Chapelle Dérézo.
    Co-création initiée par les 7 communes de Brest Métropole : Plouzané,
    Guilers, Bohars, Gouesnou, Guipavas, Le Relecq-Kerhuon et Plougastel-Daoulas. (…)

  • Une belle course lundi 27 mars

    , par Derezo

    Le pistolet à eau fonctionne parfaitement : on s’en prend plein les yeux ... surtout au "Chamboule tout" !
    De drôles de têtes ont fait apparition dans le "Cercueil" ! La Plus Petite Fête Foraine Du Monde prend de plus en plus d’autonomie, ça tourne, on a hâte d’aller dans la rue !!!

Un Hueco en la Ciudad

  • La sensazione ...

    , par Leo

    La sensazione di essere una comunità, di parlare la stessa lingua e di giocare, giocare insieme allo stesso gioco.
    Quando tu sorridi, sorridendo o con gli occhi ; quando tu sorridi e lui risponde, sorridendo. Sorridendo, ora Siamo in due. Il sorriso che fa comunità. La comunità sorridente. (…)

  • -despues de un largo día-

    , par Duban González Vásquez

    Dentro de cuatro paredes. Encerrados dentro de una cabeza. Las tranquilas melodias que relajan al cuerpo. Un cuerpo cabeza. Cuanto puede un cuerpo encerrado en la cabeza. La cabeza es una cárcel, la cárcel del cuerpo, pero ¿cómo se hace una cárcel en la cabeza ? De que material son los barrotes. (…)

  • Amarilla

    , par Amarilla

    Desaprender, desvanecerme, deshacerme de la tècnica como zona de confort, desorientarme, horadarme para reinventarme... permitirme ser permeada por el espacio para que el espacio me devele nuevas realidades sobre mi misma... horadarme para reinventarme

  • BREST

    , par Duban González Vásquez

    El tiempo es más corto de lo que parece. Ya estamos instalados y trabajando en la costa francesa. Me gusta en demasía esta pequeña ciudad. Su abrazador viento envuelve de una agradable manera. La vista es maravillante. Me gusta el sonido de las aves que sobrevuelan mi cabeza. Para Brest me (…)

  • CONDENADOS AL MOVIMIENTO

    , par Alejandra Escobar

    Un hueco en la ciudad además de generar rupturas en el ritmo vital de la ciudad, también generó fisuras en mi vida. Regresar a la rutina en Medellín fue más difícil de lo pensado, mi mirada se había convertido en un detector de actos poéticos ; focalizaba las diferentes posibilidades del entorno como potenciadores de creación, de acción no solo teatral sino de danza.

    Cuando comencé la experiencia creía ser la única bailarina en el proyecto, sin embargo desde la primera temporada hasta ahora a pocas (...)

  • Debout les rues !

    , par Derezo

    Que nous réservent les rues rennaises, brestoises, bordelaises ? En sommes, que nous réserve la rue française ? Ah, bien des surprises j’espère ! Surprises que nous réveillerons, déclencherons, ferons advenir, si elles ne le font pas d’elles-mêmes !

    Debout les rues !

    Les textes sont de retour dans les mémoires, se fraient un chemin (quelque peu sinueux) de la bouche au cerveau et du cerveau au corps, ou du cerveau à la bouche et de la bouche au corps, ou du corps au cerveau et à la (...)

  • DeCONSTRUCCIONES

    , par Duban González Vásquez

    Este soy yo La bestia, la fuerza y el animal Un instinto salvaje Un impulso volado La sonrisa, la alegría, la lagrima, la rabia La fuerza bruta La cara tierna La mano dura Una voraz sombra O una incandescente luz El dedo que señala, niega y acaricia.
    Ya no se a que fecha estamos. Solo tengo (…)

  • Départ le 7 mars 2017

    , par Derezo

    Départ le 7 mars 2017 des français pour la Colombie
    Direction Bogota
    Charlie Windelschmidt (metteur en scène)
    Nina Jamrbina (coordination & dramaturgie)
    Gwénolé Peaudecerf (son)
    Dan Ramaën ( photographe & vidéaste)
    Alexandre, Adèle Csech, Léna Dangreaux, Cléa Laize, Cyrielle (…)

  • Desenvoltura Insolence Presencia

    , par Cyrielle

    Qu’est-ce que l’intériorité (éthy. "qui est à l’intérieur de l’âme")
    Comment n’être que accueil ?
    Et où se limite cette notion ? Quand faut-il agir ?
    DÉSINVOLTURE
    DESENVOLTURA
    INSOLENCE
    INSOLENCIA
    ET
    Y
    PRÉSENCE
    PRESENCIA

  • Detalles de actitud antes, durante y después de intervenir.

    , par Lin (^^)

    Ayer, Martes 21 de Marzo, el equipo se reunió para tratar los temas relacionados a las herramientas a utilizar durante el proyecto, las consultas sobre estas, el blog, el Dropbox, el sonido y la tercera mecánica. Pero antes, se quiso hacer un balance del trabajo realizado en la ciudad de (…)

  • El cuerpo no quiere dormir.

    , par Mariana Mello

    El cuerpo no quiere dormir. Se rehúsa. Il ne dort pas. Este mismo cuerpo que no duerme es el cuerpo que quema bajo el sol, que se inquieta, que quiere y desea. Le corps qui brûle sous le soleil. Le corps qui sent, le corps qui vit, qui vit l’intensité des rencontres.
    Encontros únicos e que se (…)

  • El hueco de los gringos

    "Au théâtre, il faut montrer le vraisemblable, et non le vrai parce que le vrai est parfois invraisemblable" Beaumarchais.
    Pensée des acteurs français en ce matin du 4e jour... Après immersions, plongées, jeu de miroir et provocation du réel, comment s’immiscer l’air de rien quand nous, les (…)

  • El hueco de los gringos

    "Au théâtre, il faut montrer le vraisemblable, et non le vrai parce que le vrai est parfois invraisemblable" Beaumarchais.
    Pensée des acteurs français en ce matin du 4e jour... Après immersions, plongées, jeu de miroir et provocation du réel, comment s’immiscer l’air de rien quand nous, les (…)

  • El Transeúnte y el Actor

    , par Laudith Diaz Orozco

    Transeúnte. Las personas caminamos por el mundo como si fuéramos en medio de una neblina espesa donde solo podemos ver lo que cargamos, y las otras personas que van al rededor solo están ahí como ruido que hace parte del espacio ; este proyecto se cuela en medio de la neblina la dispersa y nos (…)

  • Emociones. Pos-pre

    , par Sunami Rodriguez

    Han pasado meses desde nuestro ultimo abrazo, en estos meses el mundo ha enloquecido, estado en guerra, han muerto y nacido millones de personas, han habido desastres naturales, desastres quimicos, odios, amores e infinitas realidades adyacentes, pero en todos estos meses mi alma ha transitado (…)

  • En una palabra...

    , par Derezo, Mario

    Cuando asistes a una obra de teatro, tiendes a resumir todo en una palabra :
    emocionante, interesante, inusual, divertido, conmovedor, extraño, sarcástico, cinemático, impresionante, alienante, ligero, profundo, irónico.
    Un Hueco en la Ciudad es todo esto y su opuesto. Es difícil definirlo, (…)

  • Escalade Inversée

    , par Derezo

    LA FAIM. 
    MANGER POUR CONFIRMER QU´IL Y A DE LA VACUITÉ. REMPLIR NE DURE PAS.
    CE QUE TU SOUHAITES ARRIVE : DENTIER¡ Apparait le dentier. Par delà le désir, désaxer la resprésentation absolutiste de sa propre image. La sainteté est une chute dans un égout. Le diable boit du palmier. Jus. (…)

  • ESTE PROYECTO NO SOLO INTEGRA A COLOMBIA Y FRANCIA

    , par Luisa Maria Escorcia Valencia

    Como lo prometido es deuda, desde ya podrán conocer un poquito quien es cada integrante de “Un hueco en la Ciudad”. Deben saber que no empezare con el director, Charlie, porque dejare el plato fuerte para lo último. Pero me permito empezar con los dueños de los textos presentes en cada una de (…)

  • Histoire de se réchauffer les MACHINES

    , par Alexandre Alberts

    Histoire de mec et de gonzesse qui revienne de chez les ricains du sud Histoire d’un PROYECTO qui se passe en la CALLE Histoire d’une busceda au pif chez l’invisible Histoire d’un retour chez le français Histoire de rencontres, de bousculades, de briques et de truelles, de sirops de framboises (…)

  • Ici et maintenant la fiction créé de la réalité

    , par Cyrielle

    Être une aveugle dans un parc. Une actrice qui joue une aveugle dans un parc. Et des enfants. Des enfants qui entrent dans ma proposition de réalité. Ils y croient. Pour eux je suis aveugle. Ils tournent autour de moi, ils crient, ils jouent à avoir peur. Une fille me touche la main . "Tu es muy (…)

  • La llegada

    , par Duban González Vásquez

    Regresando en el tiempo :
    Llevo algunas horas en Curramba, en este pedazo de tierra que ha sido amazada y extendida sobre un gran fogón. Con frecuencia los mosquitos se posan sobre esta piel foranea, esta que es de otra parte. Tal vez ellos también lo sienten, sobrevuelan mi tronco y quieren (…)

  • La mutación del ecosistema urbano.

    , par Pedro

    Un hábitat : personas, objetos, lineas, ruido, luces, ritmos, materiales, texturas. Un movimiento. Y comienza la mutación, invisible. Como a punto de hervir el agua.

  • La paz !

    , par Derezo

    Au coeur de la chaude Barranquilla les matinées sont consacrées à la dramaturgie et aux derniers agencements textuels avec les auteurs (ici dans l’université des beaux arts d’Antioquia). Le passeport des lieux et le carnet dramaturgique se remplissent. Les interprètes dansent en trois langues (…)

  • La realidad como directora

    , par Sunami Rodriguez

    El lugar, el ahora, los transeúntes, el clima, el flujo, la energía son parte de esta gran orquesta que guía al actor en su trabajo, cada día es una nueva experiencia, un nuevo lugar que debe ser observado por los actores de forma activa para proponer nuevas acciones que incorporen al espacio en (…)

  • La suite

    , par Gwenolé Peaudecerf

    Demain c’est reparti ! La recherche autour de Hueco reprend à Mallorque puis en Italie pour les 3 prochaines semaines.
    A la veille du départ le temps est venu de faire un état des lieux du travail où nous l’avions laissé. D’où reprendre ? Vers où chercher ? Replonger dans les archives, les (…)

  • LOS MEDELIN DIAS

    , par Alexandre Alberts

    Dia#1 Arrivee dans la ciudad de MEEdeeejin Medelin c est odeur de motocyclette qui ronronne dans le gagrage de Papy Montagne Ca fume du bolide en modo amimal oscurro de la calle CADA DIA una nuevo sitio AHORA Plaza San ANTONIO On sort les pelleteuses et on continue a Patatraquiser le reel dans (…)

  • Margaux

    , par Derezo

    Cette aventure est soutenue par plusieurs Alliances françaises. Sur le terrain celle-ci sont primordiales. Elles ont tissé de longue date des réseaux sur le terrain qui sont ceux que nous empruntons pour sillonner la ville avec notre dispositif de rue. Parmi les gens qui ont contribuer à la (…)

  • Mes rêves, Mis sueños.

    , par Sunami Rodriguez

    Es gracioso pensar que en el texto que tengo, el eje principal son los sueños, no lo había pensado pero la relación del texto con lo que va a suceder en unos 7 dias puede darle un giro fundamental a mi percepción del monologo. A lo largo de estos 22 años, uno de mis sueños ha sido conocer (…)

  • Micro léxico para entender nuestro proceso

    , par Nina

    REALIDAD : la realidad es el mundo transformado por nuestra presencia.
    FICCION : la ficción es el recuerdo de lo que nunca ocurrirá.
    INTERPRETE : la persona que dibuja trayectorias entre los signos.
    TEATRO : el teatro es el lugar de las visiones y lo que no está dicho.
    SENTIDO : el (…)

  • MUSICA DE DOS LENGUAS

    , par Brian Villa Aburaad, Derezo

    En medio del ruido de la ciudad, el afán de la gente, las diferencias sociales y el miedo a vivir se abre un mundo paralelo a la realidad del mundo que habitamos. El tiempo se congela por un instante y se abre una ventana mágica para unos pocos mientras la vida continúa en su decadente (…)

  • Nouveau programme

    , par Derezo

    Chers spectateurs casqués. Parlons de deux ou trois choses que vous avez pris l’habitude de nommer réalité. Et comme l’a dit un poète vivant : « Nous avons les moyens de vous faire exister ». Vous allez pour cela assister aujourd’hui à l’une ou l’autre des trois pièces que nous vous proposons. (…)

  • occidente

    , par Duban González Vásquez

    Ya estoy cambiando mis ritmos horarios. Llevo unas horas en Europa, hace frio y el día es parcialmente frío. Las personas son muy altas y bajas, rubias y castaños, hay gordos y flacos, negros y blancos. Somos hombres, iguales y sin embargo, increiblemente similares. Varias veces sentí ganas de (…)

  • Para el choro y la mujer

    , par Cyrielle

    Durant le travail du vendredi 17 mars, Charlie a parlé du rôle de "conseiller" , de "guide" du choeur sur le personnage de la femme et cela m’a rappelé un poème bouddhiste :
    "1. Je descends la rue. Il y a un trou profond dans le trottoir : Je tombe dedans. Je suis perdu... je suis désespéré. (…)

  • Pensée

    , par Cyrielle

    "Il est nuit : hélas pourquoi suis-je lumière ! Et soif de ténèbres ! Et solitude !
    Il est nuit : voici que de moi jaillit comme une fontaine mon désir d’élever la voix.
    Il est nuit : voici que s’élève plus haut la voix des fontaines jaillissantes. Et mon âme aussi est fontaine jaillissante. (…)

  • Première semaine en Colombie

    , par Gwenole

    Ça y est c’est partit !
    Après une semaine de repérages intenses à Bogota et Medellin, nous voilà arrivés à Barranquilla.
    Ce soir arrivée des acteurs et demain première rencontre de l’équipe au complet à l’Alliance Française, con mucho gusto !
    La logistique et la technique sont prêtes, (…)

  • Primer intento de organizar el viaje en palabras

    hacía mucho que no sentía una sensación tan intensa de efervescencia por estar viva, porque hay todo un mundo de gente, cosas y personas por conocer, hacía mucho que el estómago no pasaba tanto tiempo sufriendo con alegría la ansiedad de lo nuevo. escuto uma música e é um pouco como se toda essa (…)

  • Programme

    , par Derezo

    Chers spectateurs casqués. Parlons de deux ou trois choses que vous avez pris l’habitude de nommer réalité. Et comme l’a dit un poète vivant : « Nous avons les moyens de vous faire exister ». Vous allez pour cela assister aujourd’hui à l’une ou l’autre des deux pièces que nous vous proposons. Le (…)

  • Qui se fout de l’art

    , par Cyrielle

    Partage. J’ai discuté avec un jeune artiste colombien qui me disait qu’ici les gens se foutent de l’art. Or je ressens tout l’inverse. Peut-être que les colombiens ne veulent pas aller s’enfermer dans un théâtre ; mais pour ce qui concerne un événement dans la rue, avec la possibilité d’entrer (…)

  • Reflexión

    , par Brian Villa Aburaad

    Para la iniciación del proyecto con un grupo de actores que apenas iban a comenzar a descubrir en la escena se tuvieron en cuenta varias premisas fundamentales que nos ayudaron a iniciar el camino colectivamente ; partimos de pautas brindadas por Charlie para la comprensión individual de lo que (…)

  • Rencontrer

    , par Derezo

    Les latitudes changent chez Dérézo. Nous voici maintenant chez Gabo ! Le voyage (train, avion, bus, taxi...) est pour nous une attente en forme de sas, une maturation puis, tendrement, passer de l’autre côté, par le corps. 25 heures de porte à porte. La rencontre entre les bandes d’interprètes (…)

  • Rumbo a Francia

    , par Laudith Diaz Orozco

    Desde ese último globo (de Bos Layer) que lanzamos en el mercado de Usaquén, cuando nos abrazábamos y con lágrimas en los bordes de nuestros ojos, le dijimos hasta luego a la primera parte de un proyecto de corazones, porqué en tres semanas todos teníamos el mismo apellido sin importa nuestra (…)

  • Sentir la magie

    , par Cyrielle

    Ca y est ! Les 2 dernieres sont la. Les 3 semaines se sont bousculees entre decouvertes, travail, et mal d’oreilles.
    Bienvenue a Un Hueco En La Ciudad.
    Vamos a ser ustedes Maestras por los last 48 hours.
    Enjoy and sentido la magia.

  • sueur

    , par lena dangreaux

    La ville sue sur nous les marrées de sueur coule sur les montagnes de béton habités. Cette marée d´eau salé maintenant nous atteint : elle engloutie le regard dún passant, dún errant, les rides dún habitant de la rue, le maquillage d,une femme,les pas précipité d´un enfant,le métal et le gaz des (…)

  • UN POEMA

    , par Luisa Maria Escorcia Valencia

    Medellín es una selva de cemento
    Medellín que antes era mi cielo
    Hoy es mi silencio eterno
    Te esfumaste y solo quedaste dentro de mi pecho
    Y mis lágrimas como un aguacero
    Inundan mi pecho porque no te tengo
    Te siento
    Te espero
    Pero no te tengo
    Te anhelo
    Te quiero
    Te llevo (…)

  • Un trou, un puits, un gouffre, un sillon, l’océan

    , par Cyrielle

    Un trou, un puits, un gouffre, un sillon, l’océan. C’est peut-être cette distance qui nous sépare de la Colombie. Des messages, des appels, des gifs, émoticônes. Partage. C’est finalement si proche, si court, nous sommes presque bouche-oreille, bouche-bouche, oreille-bouche. Bientôt ce sera une (…)

  • Una mirada del Hueco

    , par Alicia Maria

    Al principio todo era bastante nubado, en la medida que he realizado el ejercicio complementario a través de la experiencia teórico-práctica he ido entendiendo donde se dirige el propósito o despropósito de Un hueco en la ciudad. En primera estancia el actor se encuentra con dos fronteras : (…)

  • Una mirada del Hueco.

    , par Alicia Maria

    Al principio todo era bastante nubado, en la medida que he realizado el ejercicio complementario a través de la experiencia teórico-práctica he ido entendiendo donde se dirige el propósito o despropósito de Un hueco en la ciudad. En primera estancia el actor se encuentra con dos fronteras : (…)

  • Una mirada del Hueco.

    , par Alicia Maria

    Al principio todo era bastante nubado, en la medida que he realizado el ejercicio complementario a través de la experiencia teórico-práctica he ido entendiendo donde se dirige el propósito o despropósito de Un hueco en la ciudad. En primera estancia el actor se encuentra con dos fronteras : (…)

  • Una nueva existencia

    , par Brian Villa Aburaad

    El teatro como lo conocíamos ya no existe. La vida como la suponíamos ya no existe. Y tampoco nosotros como nos creíamos
    Existe una nueva realidad para el mundo Nosotros lo hacemos existir Entonces el mundo nos hace existir
    Es hora de construir el teatro y la vida del mañana. Es nuestro (…)

  • Une ville finit par être une personne

    , par lena dangreaux

    Après cette première expérience de la rue en Colombie, j’ai l’impression à présent de regarder la rue avec un autre regard, un regard plus détaillé. Je regarde les visages, l’atmosphère, le paysage , l’évènement et le présent. Et plus je regarde les gens marcher sur le bitume et plus je me (…)

  • Yo me llamo Cumbia, me voy.

    , par Duban González

    En Colombia hace apenas un rato fue el día primero del mes de octubre. En el reloj marcan las 2:22 a.m. Hace algunos días la ansiedad empezó a recorrer mi cuerpo. En cinco días, sin contar el que ya inicio Medellín empezará el viaje.
    Durante este tiempo me he ido llenando de preguntas. Espero (…)

  • ¡estamos a puntos de partir !

    , par Duban González Vásquez

    Francia, en las próximas 24 horas estaremos pisando tu territorio.
    ¡qué nervios !
    No he partido y me siento muy cansado. La ilusión de verlos esta cada vez más latente en esta piel.
    Quiero ver su historia y hacer historia.

  • ¡Sobre aquel hueco !

    , par Camilo Alvarado

    Camino a oscuras...
    La incertidumbre siempre permanente en cada uno de los pasos que dábamos. El reto de abrir un hueco en la ciudad. Como herramienta, diversas experiencias y diversos lenguajes. Poder conseguir construir una pieza que interviniera la ciudad. Modificar sus ritmos. Su rigor, su (…)

  • ¿qué queda ?

    , par Mariana Mello

    ¿Queda algo todavía de la Mariana que fui en marzo ? Tanta cosa murió y nació desde este entonces. Yo morí y nací diversas veces.
    Me corté el pelo, ya me creció, ya no me gusta así creciendo pero ya no quiero cortarlo otra vez. Tengo nuevas canas, tengo ojeras profundas, tengo nuevas (…)

  • ¿Realidad o Ficción ?

    , par Brian Villa Aburaad

    Es un trato :
    No se trata de “ser” verosímil. Más bien se trata de “estar” y “ser” un transeúnte más en el flujo natural del espacio y no un actor intentando entrar en él. Sin embargo, la magia no debe desaparecer, todo lo contrario, la magia busca su lugar en el espacio frente a los (…)

  • “Desde"… Cinco meses de reminiscencias.

    , par Alicia Maria

    Desde que nos despedimos en Bogotá recuerdo haberle dicho a Lena, “cuando nos volvamos a ver, estaremos muy cambiados” En efecto han pasado todo tipo de cosas, ha habido bastante movimiento en mi vida, y me figuro que en la vida de todos nosotros. Entre todo ese movimiento "Un hueco en la (…)