Blogs Dérézo

La sensazione ...

, par Leo

La sensazione di essere una comunità, di parlare la stessa lingua e di giocare, giocare insieme allo stesso gioco.
Quando tu sorridi, sorridendo o con gli occhi ; quando tu sorridi e lui risponde, sorridendo. Sorridendo, ora Siamo in due. Il sorriso che fa comunità. La comunità sorridente. (…)

Derniers billets

  • Anima

    , par Valéry

    Alors que nous évoquons le « supplément d’âme » pour justifier nos politiques publiques en faveur des arts, ici, la notion d’âme semble au cœur même de toute considération.
    Lors des cérémonies, « l’athlète affectif » comme le défini Artaud, jette son âme et son corps dans la bataille cosmique. (…)

  • Ca-Caliban

    , par Alice

    Changer J’ai pensé à l’histoire de Jérémy Button, raconté par le cinéaste Patricio Guzman dans « Le bouton de nacre ». Jérémy Button était, à la fin du XIXe siècle, un Indien de Patagonie, qui, en échange d’un bouton de nacre, a accepté de suivre un géographe anglais (venu dessiner les côtes (…)

  • Mouvement !

    , par Simon

    Voilà 12 jours que nous sommes arrivés (pour le premier groupe) à Bali.
    Le temps file ! Oui mais dans quoi file-t-il ?
    Aujourd’hui, dernière séance de travail avec Nyoman sur le Topeng Pajegan, puis départ pour Singapadu. Au programme de la semaine, danse Legong, facture de masque et Tempête. (…)

  • Ecoumène

    , par Simon

    Lire Shakespeare à Bali, dans un Wantilan, en sarong, a quelque chose de tragique.
    Nous sommes arrachés à nos duchés, à cause de la connaissance, acquise ou recherchée, et nous rencontrons l’autre dans un milieu qui peut passer d’hostile à accueillant en très peu de temps.
    Des liens se (…)

  • Tua

    , par Anne-Sophie

    I nyoman Setiawan. Danseur de masque. Facteur de masque. Fabricant de tronches. Celle là par exemple. De loin une allure de vieux sage, à qui on ne la fait pas. Une figure bien connue. Vieux brisecart qu’en a sous la caboche, vieux loup, vieux singe, vieux sage , marqué, blanchi par les embruns (…)

  • Seul, comme il sied

    , par Alain

    Nous ne sommes pas ensemble sur cette île. Tu parles, et je n’en suis pas sûr. Nous sommes seuls, comme il sied. Je fais des cauchemars. Je les écris, il en repousse encore comme des champignons. Si tu veux t’égarer, as-tu besoin de me le dire ? Va-t’en alors ! Pourquoi pas seul ? Tu souhaites (…)